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Archives pour octobre 2009
25-10-2009
Henrich von Kleist – 1777-1811
Je ne puis être heureux qu’en ma seule société, parce qu’il m’est permis, là, d’être tout à fait moi.
Correspondance.
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20-10-2009
Solitude, solitudes
A travers l’objectif de mon appareil , j’ai voulu approcher ce qui me sépare de la solitude des autres, non pas pour un commentaire, une définition réductrice, mais bien plutôt pour l’identifier comme inséparable de notre histoire, de notre humanité. Solitude. Il faut aller au-devant de soi-même pour la découvrir, l’apercevoir dans la foule, dans les cafés, sur les trottoirs, dans les lieux de prière désaffectés, sur les banc des squares, sur les bords de Seine, dans la file d’attente chez le commerçant.
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20-10-2009
Parler seul – Jean Follain
Il arrive que pour soi
l’on prononce quelques mots
seul sur cette étrange terre
alors la fleurette blanche
le caillou semblable à tous ceux du passé
la brindille de chaume
se trouvent réunis
au pied de la barrière
que l’on ouvre avec lenteur
pour rentrer dans la maison d’argile
tandis que chaises, table, armoire
s’embrasent d’un soleil de gloire.
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13-10-2009
Thierry Cravant
« À peine sortie du couvent, Blanche se plie à un mariage forcé.
Les mauvaises langues disent que c’est une chance que la jeune fille ait trouvée un mari malgré son handicap…
Blanche ne voit pas les couleurs.
Pourtant le miracle du mariage ne lui rend point les couleurs de la vie.
Sitôt mariée, elle est conduite sur une terre isolée où seul Toumaï, un esclave, semble comprendre son désarroi ».
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13-10-2009
Helgé
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11-10-2009
Protégé : Philoctète – Jean-Pierre Siméon
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06-10-2009
Taneda Santôka
Sur mon bureau solitaire
la libellule
consent à se poser
Anthologie du poème court japonais, p. 146
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04-10-2009
Chauncey C. Loomis : Le Robinson de la banquise – 2007
Fasciné par le sort de sir John Franklin, disparu en 1845 avec ses cent vingt-huit hommesd’équipage (alors qu’il cherchait un passage entre l’Atlantique et le Pacifique, via l’archipel nord-canadien), l’Américain Charles Francis Hall va tenter d’en retrouver la trace. De 1860 à 1869, l’explorateur-enquêteur se rend en Arctique. Il y apprend les techniques de déplacement inuit, recueille les traditions orales des autochtones, découvre quelques restes de l’expédition Franklin.
En 1871, le gouvernement américain nomme Charles Francis Hall commandant d’une expédition scientifique, avec pour mission d’atteindre le pôle Nord. Le périple sera frappé au coin du tragique… Pris par les glaces le long de la côte nord-groenlandaise, le navire de Hall, le Polaris, se prépare à hiverner. Très vite, des tensions se font jour entre les différents membres de l’état-major. Hall tombe brusquement malade après avoir bu une tasse de café, et ne tarde pas à mourir, accusant, dans son délire, le médecin du bord de l’avoir empoisonné. Pour les membres de l’expédition, ce décès marque le début de nombreuses et dramatiques péripéties…
Cent ans après la mort de Charles Francis Hall, Chauncey C. Loomis organise une expédition au Groenland, afin d’exhumer le corps de l’explorateur et d’élucider le mystère. Dans Le RobinMm de la banquue, il s’appuie sur les journaux de bord de l’expédition et les rapports de l’enquête officiellement ouverte après le retour des compagnons de Hall, dans l’espoir de connaître le fin mot de l’histoire : Charles Francis Hall a-t-il vraiment été empoisonné à l’arsenic ?
Chauncey C. Loomis
Traduit de l’américain par Jean-François Chaix
en librairie le 1er octobre 2007
Collection biographies / aventures
380 pages / 15 x 21 cm
29 euros
ISBN: 2-916552-04-9
Diffusion & distribution : Rando-diffusion?
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01-10-2009
William-Adolphe Bougereau : Seule au monde
Le tableau dépeint une jeune femme au cheveux courts tenant un violon, sur un pont enjambant la Seine. Elle regarde vers sa gauche avec un air mélancolique. On distingue la cathédrale Notre-Dame de Paris à l’arrière plan, ainsi que ce qui semble être le Pont Royal. Le pont sur lequel la jeune femme se trouve est donc fort probablement le Pont de Solférino.
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01-10-2009
Seuls
Le thème : un matin , cinq enfants découvrent qu’ils sont seuls dans leur ville. Ils forment une petite bande.
J’ai aimé :
- le dessin à la Uderzo.
- l’idée.
Critique : Les aventures de ce premier tome sont un peu simplettes. Les enfants méritent mieux.
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