Ouang-tchang-ling (Wang Changling)
29 avr
Tantôt couché sous les grands arbres, je m’abandonne à une longue rêverie, Tantôt je me promène, solitaire, sans m’inquiéter s’il fait jour ou s’il fait nuit. Un jour que j’étais ainsi descendu dans la vallée de Palin, Je longeais les bords de la rivière, où j’avais jeté mes hameçons. Ma main enleva deux carpes, Tandis […]