23-10-2007
Solitaire – Briens Renault Dominique
Solitaire,
est-ce que l’on meurt
de cette douleur,
de se taire?
Cette vie peut-on
la distraire,
on va à tâtons,
on espère.
On ne peut l’oublier
car elle a éteint la lumiére,
ce rêve familier
on va c’est certain le refaire.
Solitaire,
est ce qu’on a peur
de cette âme soeur,
de lui plaire?
D’un amour précaire,
d’un amour menteur?
Solitaire,
Où on s’habitue
à ce qui nous tue,
on se terre
jusqu’au jour suivant
comme un fou vivant
Ce texte a été laissé en commentaire ici. Il risque fort de passer aux oubliettes. Pour éviter cela je recopie en article et j’en profite pour remercier encore son auteur.
Publié par Jean dans Vacuité | RSS 2.0
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